Pourquoi Benoît XVI a « salué » le monde à 17h30 : démission annoncée, jamais confirmée

 




Le dernier pilier qui a fait croire que la démission de Benoît XVI était valable s’effondre: nous parlons de sa déclaration publique depuis le balcon de Castel Gandolfo qui s’est tenue le 28 février 2013 - ce n’est pas par hasard - à 17 h 30.

 

Dans la Déclaration publiée le 11 février 2013, Ratzinger annonçait une date et une heure à partir desquelles il ne serait plus pape: 20 heures LE 28 FÉVRIER 2013.

Mais ce n’était que la communication d’une renonciation qui aurait dû être faite en vertu du canon 332 § 2:

« Si le Pontife romain renonce à son bureau, il est exigé pour la validité que la RINUNCIA soit faite librement et qu’elle soit dûment manifestée, il n’est pas nécessaire que quelqu’un l’accepte. »

Cependant, depuis 20 heures le 28 février 2013, aucune RENONCIATIONn’a jamais été signée ou manifestée, comme l’ont confirmé les sources les plus faisant autorité du Vatican. C’est comme si le PDG de Fiat déclarait : « Dans deux heures et demie, je démissionnerai », puis il ne formalise rien, ne signe rien, ne confirme rien, même par la voix. Cela vous semble-t-il acceptable?

Une ratification finale était indispensable car Benoît XVI, en tant que pape, aurait eu la pleine FACULTÉ DE CHANGER D’IDÉEpar rapport à ce qui a été annoncé, au moins jusqu’à 19h59 le 28 février 2013. Ergo, les déclarations « intentionnelles » n’ont aucune validité juridique si elles ne sont pas confirmées après la date limite par une renonciation.

Perché Benedetto "salutò" il mondo alle 17.30: dimissioni annunciate, mai confermate – Libero Quotidiano



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