Ratzinger « est le vrai pape. Après Bergoglio, ils seront tous détestés »: l’avis du juriste





CONCLUSIONS:


Désormais, la déclaration de pape Ratzinger est définitivement reléguée à l’histoire et au droit canonique et, en tant que renonciation à la papauté, elle est invalide. Volontaire ou non,Benoît XVI reste le seul pape régnant,bien qu’avec « siège empêché ». Il ne peut aujourd’hui faire que deux choses: soit une renonciation valable, en ouvrant un nouveau conclave légitime avec des cardinaux de nomination d’avant 2013, soit reprendre l’exercice pratique du pouvoir.

Bergoglio est un antipapa, (parce qu’élu par un conclave invalide car le siège n’était pas vacant parce que Benoît n’avait pas abdiqué) et ne pourra jamais rien faire pour remédier à cette situation. Tous les actes importants qu’il a accomplis ne sont valables que s’il les reconfirmise, à son choix, Benoît XVI, une fois le pouvoir effectif repris.

Si l’on va à un conclave pour élire un successeur à Bergoglio, on élira un autre antipape: toute sa ligne de succession est antipapale. L’Église se transformera définitivement en une nouvelle Église non catholique et mondialiste. De nombreux cardinaux liés à la tradition seront ou devront s’en sortir.

Le prochain vrai pape ne sera que le successeur de Benoît XVI et pourra être élu par un conclave composé uniquement de cardinaux valides nommés par Benoît XVI ou Jean-Paul II.

Même aux cardinaux invalides nommés par Bergoglio, il convient d’accepter la vérité et de passer immédiatement du côté de Benoît XVI, en le rétablissant sur le trône. Ils seront très probablement reconduits dans leurs fonctions cardinales pour leur allégeance au successeur légitime de Pierre. Et l’Église canonique (celle que nous connaissons) sera sauvée.

Sinon, le prochain vrai pape devra être élu, en exil, par le petit reste fidèle au pape Benoît XVI et la véritable Église catholique, purifiée, devra se relever lentement, comme dans les premiers siècles du christianisme.


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